Faites fructifier vos revenus sur divers supports de placement.
Nous définissons ensemble vos objectifs et horizons de gestion sur lesquels nous pouvons travailler, à court, moyen, long terme.
Retrouvez les réponses à vos questions
Nombreux sont les objectifs de vie que nous devons appréhender et planifier (acquisition d’une résidence principale, investissement dans les études de ses enfants, aider un proche, prévoir un revenu de remplacement pour sa retraite…).
Épargner aujourd’hui, c’est mieux préparer demain !
En effet, contrairement aux couples mariés ou pacsés, il n’existe pas de statut légal du concubinage. Les concubins n’ont aucune obligation l’un envers l’autre, sauf la vie commune. Ils n’héritent pas l’un de l’autre et sont considérés comme des tiers l’un pour l’autre.
Cependant, il existe de nombreux moyens de protéger son concubin et ceci sans même avoir besoin de passer devant Monsieur Le Maire !
En fonction de l’âge des concubins, de leur patrimoine et bien évidemment de leurs objectifs, ils pourront éventuellement prévoir, s’ils disposent d’un capital, de souscrire un ou plusieurs contrats d’assurance-vie en désignant l’autre comme bénéficiaire ou en prévoyant éventuellement une clause démembrée (le concubin pour l’usufruit et la nue-propriété pour les enfants).
Autres possibilités : La transmission de la résidence principale au concubin survivant par le biais de la tontine ou via la constitution d’une société civile avec démembrement croisé des parts par exemple, la rédaction d’un testament en faveur de son concubin…
Pour chaque situation existe des solutions, faciles à mettre en place et modulables en fonction de l’évolution personnelle de chacun.
Le Pacs se distingue tout particulièrement du mariage en ce qu’il permet plus de liberté et qu’il conduit à moins de sécurité. Même si le régime du Pacs s’aligne sur celui du mariage dans de nombreux domaines, plusieurs différences notables subsistent sur le plan juridique :
Sans contrat de mariage, les personnes mariées sont soumises au régime légal de la communauté réduite aux acquêts, sauf mention contraire, les concubins pacsés sont soumis au régime de la séparation des biens.
En matière d’impôt sur le revenu et d’impôt sur la fortune immobilière, les concubins pacsés sont soumis au même régime que les couples mariés, de même pour les donations. Par contre, en matière de succession, en l’absence de testament, le conjoint survivant marié a automatiquement droit à une part de l’héritage du défunt. Rien de tel pour le concubin pacsé : s’il est assimilé fiscalement au conjoint marié (le patrimoine transmis par succession au concubin pacsé survivant est exonéré de droits), il est cependant considéré comme un tiers par le Code civil. Sa protection n’est donc pas automatique : les concubins pacsés devront prévoir des dispositions en ce sens pour se léguer mutuellement tout ou partie de leur patrimoine.
Enfin alors que le Pacs sera souvent préféré au mariage, pour sa facilité de résiliation (la rupture du pacs est une simple formalité administrative, rapide et peu coûteuse) on se rend compte que, finalement la rupture d’un Pacs en cours de vie et surtout en cas de décès peut être plus douloureuse qu’un divorce : aucun système de prestation compensatoire ne permet de compenser la disparité de niveau de vie crée par la séparation, un couple marié peut prévoir la transmission intégrale du patrimoine en pleine propriété au conjoint survivant, cette même transmission intégrale au concubin pacsé survivant n’est possible que par testament et en l’absence d’enfant du testateur.
Il est vrai qu’il existe des centaines d’instruments financiers et des centaines de milliers d’émetteurs sur les marchés et que les marchés financiers peuvent faire peur. Nous sommes là pour les démystifier et vous accompagner dans les méandres des marchés financiers.
Des entreprises bien établies et rentables font appel aux marchés financiers pour se financer en offrant des conditions avantageuses à des investisseurs prudents. Votre conseiller Aelis peut vous guider dans le des meilleurs investissements en fonction de vos objectifs personnels et des perspectives d’investissements.
C’est une question que l’on nous pose régulièrement. Il est sûr qu’aujourd’hui dans un environnement de taux déprimé, les solutions bancaires classiques (compte à terme, dépôt à terme, super livrets), n’offrent pas de réponse à la hauteur des enjeux.
Tout d’abord nous travaillons uniquement sur la trésorerie dite stable qui n’est pas a priori affectée à l’exploitation.
Nous définissons ensemble vos objectifs et horizons de gestion sur lequel nous pouvons travailler, à court, moyen, long terme.
Vos objectifs sont la plupart de temps de 2 natures : soit générer des revenus complémentaires distribuables, soit valoriser vos capitaux à échéance.
Ce cahier des charges permet de définir les enveloppes qui recevront les capitaux et les produits de placement que nous pourrons vous proposer.
Aujourd’hui, pour des opérations de court à moyen terme, nous utilisons principalement des comptes titres et des contrats de capitalisation.
Les rémunérations cibles des supports sont de l’ordre de 2 à 4 % suivant le degré de protection du capital choisi. Nous utilisons principalement des fonds soit de types obligataires, de type « performance absolue » ou des sous-jacents immobiliers.
Nous pouvons également donner mandat à des sociétés de gestion ou vous proposer des solutions sur mesure (produits structurés, FID : fonds interne dédié au Luxembourg) en fonction du cahier des charges que nous aurons établi ensemble.
Un horizon de gestion plus long permet d’envisager des solutions d’investissement différentes :
On peut citer : tour de table immobilier (club-deal), Fiducie, acquisition de parts de SCPI en pleine propriété ou en usufruit (levier de rendement), prise de participation dans des sociétés non cotées dans une optique de valorisation. La rentabilité cible sera de l’ordre de 4 à 6 %.
Vous l’aurez compris cela demande d’établir ensemble une vraie stratégie de placement répondant aux objectifs que vous nous confierez (création de flux distribuable, remboursement d’un emprunt, valorisation à une échéance prédéterminée, etc…)
Investir dans l’immobilier locatif consiste à acheter un logement pour le louer afin de percevoir des revenus complémentaires et de se constituer un patrimoine.
L’investissement peut être optimisé grâce à des avantages fiscaux qui réduisent l’impôt sur le revenu. En effet, le législateur ou le gouvernement autorise des déductions d’impôts en contrepartie d’un engagement de location. Tout contribuable qui paie des impôts peut donc bénéficier de solutions de défiscalisation adaptées.
L’investissement locatif est le seul placement permettant de se constituer un patrimoine financé à crédit, dont les ¾ sont payés par le locataire, le solde étant réglé par une économie d’impôt et un effort d’épargne réduit.
La période de taux bas est un avantage supplémentaire pour l’investisseur.
Malgré la conjoncture favorable, vous devez rester prudent. Pour un logement, privilégiez la proximité des transports, des écoles et des commerces. Adaptez votre investissement aux spécificités du secteur. En centre-ville, préférez les petites surfaces appréciées des étudiants et des jeunes couples. Dans les banlieues résidentielles, au contraire, privilégiez les grands appartements ou les maisons, des biens convoités par les familles.
En immobilier commercial, l’emplacement est la clé de voûte d’un investissement réussi. Une boutique ne restera pas vide longtemps si elle est bien placée. Vérifiez la qualité de la zone de chalandise: facilité d’accès et de stationnement, dynamisme des commerces environnants, présence d’une enseigne susceptible d’attirer un flux d’acheteurs (un supermarché, par exemple).
Un conseiller Aelis pourra vous aider dans vos démarches et vous trouver un investissement adapté.